Description
Reproduction de trois figures représentant trois Ménines en marbre reconstitué (poussière de marbre + liant), polychromé à la main à l’huile.
Mesures :
- Isabel de Velasco (Menina verte) :
Hauteur : 29 cm. Largeur : 24 cm. Profondeur : 10,5 cm.
Poids : 3 kg. - Infanta Margarita (Menina bleu clair) :
Hauteur : 27 cm ; Largeur : 17 cm. Profondeur : 9 cm.
Poids : 5 kg. - María Agustina Sarmiento de Sotomayor. (Red Menina) :
Hauteur : 30 cm. Largeur : 22 cm. Profondeur : 11 cm.
Poids : 5 kg.
Dans ces figures, nous recréons trois personnages du célèbre tableau de Velázquez. Les figures ont été peintes à la main avec une technique à l’huile par nos artisans.
Les personnages qui sont représentés sont :
L’Infante Marguerite, (statue peinte en robe bleu clair) : fille du roi Philippe IV et de Mariana d’Autriche. Dans le tableau, elle apparaît entourée de ses dames d’honneur, appelées Ménines.
Isabel de Velasco (statue peinte en robe verte) : Fille du Gentilhombre de Cámara du roi, Don Bernardino López de Ayala y Velasco, comte de Fuensalida. Dans le tableau, elle apparaît à droite de l’Infante qui s’incline.
María Agustina Sarmiento de Sotomayor, (statue peinte en robe rouge) : fille du comte de Salvatierra. Dans le tableau, elle est la jeune fille à gauche de l’Infante, allongée devant elle et lui offrant un vase.
Diego Velázquez a peint Las Meninas en 1656. Ce tableau est le chef-d’œuvre de Velázquez, sujet à de nombreuses interprétations de toutes sortes. Le thème central est l’Infante Margarita et ses Ménines, les deux déjà mentionnées ainsi que les nains Mari Bárbola et Nicolasito Pertusato et un chien mastiff. Le peintre se représente en train de peindre une grande toile sur la gauche du tableau. Derrière les Ménines apparaît la gardienne des Ménines, Marcela de Ulloa, habillée en nonne (ou veuve) conversant avec un personnage, un guardadamas non identifié. Au fond, à la porte ouverte de l’escalier, se trouve José Nieto Velázquez, l’aposentador de la reine. Philippe IV et Mariana d’Autriche apparaissent dans un tableau ou un miroir à l’arrière-plan. Si l’on suit l’interprétation du miroir, Velázquez se serait peint lui-même tout en faisant le portrait des deux monarques.
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